Dans leur noir d’encre, leurs perspectives sinistres, leurs clartés nocturnes et leur flou aussi fragile qu’un duvet d’adolescent, ces images du quartier du Mirail à Toulouse recréent une atmosphère intime qui rejette le sordide attendu pour guetter des coïncidences de vrais bonheurs, fugitifs et intenses sur lesquels passe un avion indifférent.
Hervé Le Goff