Sabrina Biancuzzi se joue des apparences à travers ces drôles de portraits d’animaux. Parfois légères, parfois inquiétantes, ces images interrogent. Que contemplons-nous ? Comme l’écrit Jean-François Petit, « Sabrina Biancuzzi
souligne par l’élégance, la fierté ou la drôlerie de ses portraits, l’imperceptible limite qui existe entre la vie et la mort, entre la nostalgie des souvenirs et la réalité du passé. »