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 » HOLD ON ! HOLD ON ! HOLD ON »

 Du 22 mars  au  3 avril 2025 de 11H30 à 21h

UN SOLO SHOW  DE MARGAUX HENRY-THIEULLENT

 

Infos pratiques


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UN SOLO SHOW MARGAUX HENRY THIEULLENT

 du 22 mars  au  3 avril 2025

De 11h30 à 21h

 

VERNISSAGE 

Samedi  22 Mars  2025 de 19h à 22h00

 

VOZ’Galerie

41 rue de l’Est

92100 Boulogne Billancourt

recevoir une invitation  :  contact@vozimage.com

 

Margaux Henry THIEULLENT


Margaux Henry-Thieullent est diplômée de l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris Malaquais. Son travail de peinture, de vidéo, de poésie et d’installation s’intéresse aux formes de narrations hyperactives. Elle a présenté son travail pour des expositions personnelles et collectives dans des galeries, foires et institutions culturelles en France et à l’étranger telles que : Galerie LJ Paris (2024), Badr el Jundi Gallery (2022), Cité des Arts de Bayonne (2022), Galerie Suzanne Tarasiève  Paris (2021), Le Louvre (2021), le salon DDESSIN Paris (2019).
Ses oeuvres ont fait l’objet de publications et articles pour, entre autre, Time Out Paris et Point Contemporain. En 2022, elle fonde Encooore, un espace d’exposition indépendant à Biarritz pour lequel elle co-dirige la programmation.

VOIR SON PORTFOLIO

 

DEMARCHE ARTISTIQUE


L’artiste réalise un corpus d’oeuvres interconnectées résultant de la digestion des flux permanents d’informations auxquels nous sommes soumis via internet et les réseaux sociaux en particulier. Créer apparaît alors chez Margaux comme la nécessité d’exhaler ces pyorrhées dégoulinantes à travers des peintures aussi intenses qu’intuitives où le mouvement se fait violence. Ce besoin viscéral c’est aussi celui de faire mémoire. En questionnant la construction de notre histoire collective, elle propose une lecture de la société contemporaine sous forme de strates thématiques.

Depuis son entrée dans la maternité, le travail de l’artiste cherche à confronter notre vision d’un féminin puissant, démesuré face à la violence des injonctions, des paradoxes qui traversent les corps au quotidien, en particulier, le corps de la mère durant cette période de la Matrescence et celle du Post Partum. Elle questionne également avec sarcasme la fragilité de certaines libertés et droits fondamentaux dont la légitimité est constamment remise en question, notamment le droit à l’avortement, la symbolique des menstruations, les discriminations systémiques autour de la notion de genre. De ses oeuvres engagées jaillissent des axes de discussions multiples autour d’un langage écoféministe contemporain grandissant et décomplexé.